

Récit par Louise Durand d’une soirée de musique donnée par les Gilardin au château de Champollon sous le Second Empire.
En 1847, des habitants de Jujurieux qui se disent riverains de l’usine Bonnet adressent une pétition au préfet de l’Ain au sujet de nuisances qu’ils estiment dues à la fabrique. En voici le texte, ainsi que a réaction du maire
Comédienne, puis poétesse renommée, Marceline Desbordes-Valmore. En visite chez le député Jars, à Paris, elle est remarquée par Mme de Latour, belle-sœur de Louise Durand