« Le sort en est jeté, fatal, irrévocable »
Victor Bonnet écrit trois lettres à l'issue de son séjour à Jujurieux en 1862 qui marque un nouveau point de rupture avec son père. L'une est destinée à son épouse, les deux autres à son beau-frère Joseph Cottin et à son cousin Charles Lacroix.
Lire la suite