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Victor Bonnet écrit trois lettres à l’issue de son séjour à Jujurieux en 1862 qui marque un nouveau point de rupture avec son père. L’une est destinée à son épouse, les deux autres à son beau-frère Joseph Cottin et à
Les deux filles de Victor Bonnet, Clara et Maria, furent le dernier point d’attache entre Claude-Joseph Bonnet et son fils exilé. Leur éducation fait l’objet d’un attention particulière tant de la part du patriarche que de celle de leurs parents.
En fonction des ventes et du prix de la soie, Bonnet pouvait se retrouver en excédent de trésorerie ou en manque de matière première. Il cherchait alors à placer des fonds à court ou moyen terme. Explications dans trois lettres