- Rossini – Guillaume Tell, Acte 3 scène 2 : « Toi que l’oiseau ne suivrait pas »
- Gounod – Mireille, Acte 1 : « O légère hirondelle »
- Meyerbeer – L’Africaine, Acte 5 : « D’ici je vois la mer immense »
- Gounod – Mireille, Acte 2 : « La brise est douce et parfumée »
- Georges Lamothe – Le printemps, opus 75
- Georges Lamothe – Notre dernière valse
- Adolphe Adam – Le chalet : « Il faut me céder ta maîtresse »
- Donizetti – Lucie de Lamermoor, Acte 3, scène 1 : « Il dolce suono »
- Wagner – Lohengrin, Prélude
- Meyerbeer – Le prophète, Acte 1 : « Mon cœur s’élance et palpite »
- Meyerbeer – Robert le diable, Ouverture
« Le sort en est jeté, fatal, irrévocable »
Victor Bonnet écrit trois lettres à l’issue de son séjour à Jujurieux en 1862 qui marque un nouveau point de rupture avec son père. L’une est destinée à son épouse, les deux autres à son beau-frère Joseph Cottin et à